dimanche 30 mars 2014

CONFIDENCE - Perte de mon pucelage

Je m'étais arrêté à la fin de mon adolescence. Donc jusqu'à l'âge de 20 ans, masturbation, mais virginité et pucelage persistants. A 20 ans, je fus appelé pour faire mon service militaire; affecté à l'armée aérienne, je fus envoyé dans une base d'aviation, qui par chance était située à 25 kms seulement du domicile de mes parents, où j'habitais encore. Nous dormions dans des dortoirs de 20m sur 8m environ; huit lits d'un côté, huit de l'autre, chaque lit surmonté d'un deuxième superposé, donc 32 mecs en tout.--- Presque chaque nuit, après l'appel et la sonnerie d'extinction des feux, malgré le bromure mis dans les bouteilles de vin du diner, pour nous faire rester tranquille, plusieurs soldats, tous hétéros, se branlaient; et notamment celui qui dormait juste au dessus de moi; il s'appelait Honoré.--- J'entendais son sommier grincer assez souvent, je lui flanquais un coup de pied au cul, à travers le sommier en lui disant : "Merde y-en a marre, gardes-en un peu pour demain". Ce à quoi il répondait, en haletant "Fous...moi...la...paix,...ne..... me...fais...pas...chier".--- Dans le lit du haut, situé à ma droite, dormait un jeune homme, avec qui très vite, j'étais devenu copain; nous parlions des heures durant, assis sur les marches des bâtiments administratifs de la Base.--- Marc était sympa mais avec une mentalité particulière : il proclamait qu'il n'y avait dans la vie que deux catégories de personnes, les arnaqueurs et les arnaqués, ceux qui roulent les autres et ceux qui sont roulés, etc... Il vivait avec, et aux crochets, d'une femme nettement plus âgée que lui (40 ans) mère de 4 enfants, divorcée ou veuve, et qui avait un vague emploi dans un magasin; mais qui faisait surtout la pute pour mon copain.--- Lorsque j'avais avoué à Marc que j'étais encore puceau, à sa grande stupéfaction, lui qui avait à 14 ans, entre autres "exploits", violé la fille de sa voisine, il me regardait comme si j'étais malade; puis son esprit pratique et malin, refaisant surface, il s'empressa de me proposer de remédier à cette situation anormale à ses yeux et ce moyennant une somme assez modérée. J'acceptais, et il écrivit une lettre à sa petite amie pour la convoquer un samedi après-midi, devant la porte de la Base.--- Le jour dit, il faisait une chaleur éprouvante (fin juillet). J'étais assez nerveux.--- A l'heure convenue, nous avions les deux des perm' nous sommes sortis de la Base, et au lieu de galoper vers le bus, nous restâmes à faire les cent pas devant la porte, au grand étonnement des soldats du poste de garde à l'entrée; aucun ne fit de commentaires (j'étais sergent !).--- Enfin, la copine arriva dans une petite voiture brinquebalante, cabossée, presque une épave.--- Notre copain, qui avec son esprit fureteur, avait déjà repéré les lieux, nous fît monter, et dirigeant avec autorité, nous emmena derrière les pistes d'envol, dans une espèce de remise, genre baraque de chantier, qu'il avait déjà visité.--- Ce réduit était fermé par un gros cadenas entre deux pitons, mais il avait déjà trafiqué l'un des pitons, qui ne tenait plus qu'en apparence. L'intérieur était horrible : des outils de terrassement entassés dans un angle, et le long d'un mur, des sacs de jute, pleins de je ne sais trop quoi, la chaleur de cette petite pièce, à toit de tôle ondulée, était presque intenable.--- Marc eût un sourire satisfait, et alla faire le guet devant la porte, nous laissant seuls.--- Sa femme, dont j'ai oublié de te faire une description, était plutôt boulotte, assez petite (160cms max.) avec d’assez gros seins tombants, un ventre proéminent, et curieusement d'assez petites fesses; elle était fardée, mais sous l'effet de l'intense chaleur, elle ruisselait de sueur, et son visage apparaissait de 36 couleurs.--- Très vite, elle baissa son mini-short, enleva sa culotte, et remonta sa chemisette jusqu'aux aisselles.--- Bien sûr, elle dégageait une odeur corporelle épouvantable. (Bref ent'écrivant j'ai la nausée, et une vague envie de dégueuler). Mais, quand on a 20 ans, bien sûr, on bande, même sans en avoir réellement envie !--- Donc, je baissais mon pantalon, et malgré l'environnement dégoutant,l'aspect peu attirant de ma vis-à-vis, j'étais fasciné par l'importante touffe pubienne de cette femme, et les bordures rouge-sang de son con.--- Elle s'était calée contre un des sacs écartant ses jambes au maximum; à mon grand étonnement rétrospectif, j'arrivais à bander !! J'étais, moi-même, ruisselant de sueur, et je me souviens que des gouttes tombées en permanence de mon front; mon nez et mon menton. Je commençais à niquer, peut-être au fond de moi, plus pressé d'en finir que de prendre mon pied, après quatre ou cinq pénétrations, la fille sentît que j'allais jouir, elle se déplaça avec une grande agilité, et je me répandis sur le sac.--- J'avais perdu mon pucelage "hétéro" de manière fort peu glorieuse, et je crois, étant alors bisexuel, et encore à l'âge où on hésite, elle m'a trés fortement incité à chercher dans l'autre sexe, des plaisirs qu'elle ne m'avait pas du tout donné.--- La suite présente peu d'intérêt : nous ressortîmes en vitesse au grand air, je payais mon copain, et couru à l'arrêt du bus, afin de prendre au plus vite une douche chez moi.--- Eux deux partîrent dans la petite auto sans doute pour faire l'amour, ou... pour la mettre au tapin, afin que cette journée soit tout à fait rentable pour Marc ! --------------FIN -------------- Jul.

LES BOGOSSES DU DIMANCHE